Les candidats au permis plaisance doivent connaitre une trentaine de mots de ce glossaire.
Cours d’eau qui se jette dans un autre.
Sens unique alterné pour franchir un passage étroit, dans lequel deux bateaux ne pourraient pas se croiser.
Ce terme représente la partie haute de la rivière, soit du côté de sa source.
Ensemble du petit matériel à bord d'un bateau. Cela va de l'extincteur au guide fluvial, en passant par les amarres, l'ancre, les bouées, des avirons, des gaffes, une corne de brume. On parle aussi de "matériel d'armement".
Plate-forme fixe ou flottante permettant aux bateaux d'accoster ou de s’amarrer dans les rivières ou les estuaires soumis à la marée.
Un appontement est par essence flottant pour suivre les variations de hauteur d’eau.
Dépot d'alluvions ou de sable dans le lit du cours d'eau; risque d'échouage.
Péniche motorisée.
Désigne la partie basse de la rivière, soit vers son embouchure.
Bateau navigant vers l'aval, c'est-à-dire qu'il descend un cours d'eau dans le sens du courant et se dirige vers son embouchure.
Bulletin d'informations réglementaires concernant des lieux et dates données. On y trouve par exemple les dates de chômage.
Côté gauche du bateau lorsqu'on regarde vers l'avant.
Mur latéral d'une écluse, il peut être soit vertical soit légèrement incliné.
Ensemble des bouées et dispositifs divers indiquant le chenal d’une voie d’eau ou signalant les obstacles.
Bateau pour le transport de marchandises par voie navigable intérieure, destiné à être poussé et non muni d’un moyen de propulsion.
Il en existe plusieurs types, selon leur fonction : barrages hydro-électriques, barrages réservoirs, barrages antipollution ou barrages de navigation, fixes ou mobiles.
Zone délimitée de la rivière ou du canal où peuvent se pratiquer des sports nautiques de vitesse, de voile ou d’aviron.
Tout bateau de plaisance est considéré comme bateau de sport.
Mettre le bateau en marche arrière pour l'arrêter.
Le bief est la partie de cours d'eau qui se situe entre deux écluses.
Ce bief est le point le plus haut du canal où la pente change de sens. Il se situe sur la ligne de partage des eaux.
Forme de gilet de sauvetage.
S’emploie en navigation fluviale pour qualifier un trafic réalisé entre deux ports d’un même pays par un bateau étranger. A ne pas confondre avec le cabotage maritime qui représente le trafic entre deux ports de mer voisins.
Laisser reculer le bateau dans le courant après avoir amarré l’avant à la rive, à un autre bateau ou à une ancre.
Permet aux bateaux de longer une portion de rivière trop longue ou non navigable.
Canal joignant deux cours d’eau. Cet aménagement artificiel consiste à faire rejoindre deux voies navigables situées dans des bassins différents.
Nom donné aux permis de navigation des bateaux de plaisance. C'est l'équivalent de la « carte grise » des voitures.
Zone navigable que vous devez suivre pour éviter tout danger : rocher, ensablement, piquets...
Période d'interruption de la navigation pour entretien.
Différence de niveau entre les 2 biefs reliés par une écluse.
Bateau de plaisance, habitable ou non, de moins de quinze mètres. Il peut être nolisé, c’est-à-dire en location.
Reculer par la seule force du courant.
Pieu ou faisceau de pieux émergeant et destiné à l’amarrage ou à l’évitement des bateaux.
Ouvrage d’art hydraulique implanté dans un canal ou un cours d’eau pour le rendre navigable et permettre aux bateaux de franchir des dénivellations.
Perche ou tourelle plantée dans le cours d’eau et servant de balise.
Niveau le plus bas d'un cours d'eau.
Le gabarit d’une voie d’eau indique la taille des plus gros bateaux : longueur, largeur, tirant d’eau, tirant d’air qui peuvent l’emprunter.
Longue perche en bois manoeuvrée à la main qui sert à écarter le bateau des ouvrages ou des obstacles lors des manoeuvres.
Sorte d’aviron placé à l’arrière du bateau qui sert à faire avancer le bateau à la main.
La halte nautique (ou halte fluviale) est un équipement d’escale de court séjour, aménagé de manière simple qui ne donne pas lieu à la délivrance de services marchands. Cet espace public peut accueillir un nombre limité de bateaux en transit (3 minimum, 8 maximum). Le stationnement est gratuit et n’est autorisé que pour une durée limitée (inférieure à 48 heures).
Hauteur d’eau en amont de l’ouvrage.
Distance verticale entre la surface de l'eau et le dessous d'un ouvrage enjambant la voie d'eau.
Par opposition au côté «terre», on désigne par «large», le côté du bateau situé vers le milieu de la rivière ou du canal.
Bateau de plaisance de moins de 20m.
Bateau navigant vers l'amont, c'est-à-dire qu'il remonte un cours d'eau dans le sens contraire du courant, se dirigeant vers sa source. Sur un canal, cela signifie qu'un bateau prend les écluses dans le sens montant. (comme un escalier)
En navigation intérieure, il s’agit de la profondeur disponible pour le bateau, principalement dans un chenal aménagé. La différence entre le mouillage et le tirant d’eau maximal est appelée pied de pilote
Se laisser porter par le courant; cette pratique est interdite.
Un bateau nolisé est un bateau de tourisme mis en location ou à disposition d’un utilisateur, à titre onéreux ou gratuit.
Protection que l'on suspend en dehors du bateau pour amortir un choc et empêcher les frottements contre un bateau, un quai ou un ponton. Les pare-battages doivent être flottants. (Au cas ou ils tomberaient)
Profondeur minimale que l’on doit laisser sous le bateau. Elle est de 20 à 50 cm, pour des raisons de sécurité bien sûr, mais aussi pour assurer un bon écoulement des filets d’eau sous le bateau.
Partie arrière d'un bateau
Partie avant d'un bateau.
Hauteur entre le pont du bateau et la surface de l’eau.
Côtés du cours d'eau en allant dans le sens du courant.
Partie intérieure de l'écluse située entre les deux portes.
C'est le passage d'un bateau dans une écluse ; le temps de passage du bateau dépend de la hauteur de chute ainsi que de la taille de l'écluse
Panneau d’information non réglementaire à l’inverse de la signalisation. Utilisé pour afficher les informations touristiques
Panneau d’information réglementaire.
Le siphon est un dispositif installé sur une configuration naturelle d’un cours d’eau souterrain, dans lequel l’air ne peut pas circuler entre les deux extrémités en raison de
l’immersion permanente d’une partie du plafond.
Un siphon est mis en place lorsqu’un canal coupe un cours d’eau naturel
Distance verticale entre le niveau de l'eau (flottaison) et le point le plus haut du bateau.
C'est la distance verticale entre la partie la plus basse du bateau (en général la quille) et la ligne de flottaison.
Désigne l'action de dépasser ou de doubler un bateau faisant même route. Aux abords d’un ouvrage d’art, le trématage est souvent interdit.
Le côté droit du bateau, lorsqu'on regarde vers l'avant.
Document justificatif du péage obligatoire sur le réseau VNF acquitté par les bateaux de plaisance de plus de 5 mètres et / ou d’une puissance égale ou supérieure à 9.9 CV.
Faire demi-tour.
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